Dans la foulée, la vie qui continue et qui s'arrête pour certains... c'est plus dur quand c'est une personne proche. Alors novembre a été un mois émotionnellement compliqué. Mais je ne pouvais pas passer cette période sans être auprès de ma famille. Je ne savais pas comment faire. Et surtout parce que le fait d'être ensemble est un des meilleur exutoire. Alors l'espace de quelques jours, je me suis retrouvée transportée pour un dernier au revoir, les larmes qui voulaient absolument sortir, tout le temps. Le soulagement de la (sa)voir tranquille m'a permis de continuer la route. En rentrant a cette casa, j'étais étonnée de la compassion de toute la troupe. Tous, chiliens, mexicains, suisses, argentins ou canadiens m'ont serré dans les bras et à leur manière m'ont montré une petite marque d'affection. Ces petites choses qui font du bien. Et puis surtout, j'ai retrouvé un français qui parlait mexicain! Quelques semaines ont passé, le temps de reprendre ses esprits, et nous voila sur le départ. On y a passé un mois et on a eu du mal a partir.
Le temps passe, chaque minute chaque seconde exactement à l'identique partout dans le monde. Une histoire de perception finalement puisqu'il parait que chacun d'entre nous le perçoit différemment. Comme une envie d'aller vivre d'autres temporalités dans un pays où le tout de suite n'est pas défini. Et on ne peut que l'accepter et se laisser porter pour mieux vivre,imaginer et créer. Il est temps pour nous de nous mettre à l'heure mexicaine.
samedi 19 janvier 2019
Casa Baxaal
Dans la foulée, la vie qui continue et qui s'arrête pour certains... c'est plus dur quand c'est une personne proche. Alors novembre a été un mois émotionnellement compliqué. Mais je ne pouvais pas passer cette période sans être auprès de ma famille. Je ne savais pas comment faire. Et surtout parce que le fait d'être ensemble est un des meilleur exutoire. Alors l'espace de quelques jours, je me suis retrouvée transportée pour un dernier au revoir, les larmes qui voulaient absolument sortir, tout le temps. Le soulagement de la (sa)voir tranquille m'a permis de continuer la route. En rentrant a cette casa, j'étais étonnée de la compassion de toute la troupe. Tous, chiliens, mexicains, suisses, argentins ou canadiens m'ont serré dans les bras et à leur manière m'ont montré une petite marque d'affection. Ces petites choses qui font du bien. Et puis surtout, j'ai retrouvé un français qui parlait mexicain! Quelques semaines ont passé, le temps de reprendre ses esprits, et nous voila sur le départ. On y a passé un mois et on a eu du mal a partir.
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